Je marche sur le sable, espadrilles ôtées, Brise délicieuse à la saveur salée, Je respire enivré les parfums de Biarritz, Réconfortante odeur des anciens Tamaris
Remontent, souvenirs en folle bousculade, Comme ils sont précieux ces charmants camarades ! Les vacances filaient chaque année en été, Sur le bord de la mer avec pépé, mémé.
Je songe à leur amour, leur douce bienveillance Me réchauffant le cœur depuis la tendre enfance. C’était le paradis du lever au coucher, Ephémère bonheur qu’ils aimaient partager.