Ô suave andante ! L'été qui agonise, - Dans les vastes forêts, sur les sombres sentiers - Aux cris des animaux sauvages, s'harmonise ; Sous les très grands arbres (les feuillus, les fruitiers)
L'été a rassemblé, en rond, ses héritiers. . .. ... .. .
[ 2 ]
Le Soleil, au sortir des chemins solitaires, S'épuise en tiédeurs ; ses rayons réfractaires Ne dorent même plus le lys pâle et fluet !
Feuilles sèches, corbeaux, citadins sédentaires, Seuls remuent encore dans l'air froid et muet.