Premier soir d'octobre : vive maussaderie ! Pâleurs obsédantes et pourpre automnal Se mêlent - dans l'aquilon septentrional, Aux odorantes tristesses de la lande défleurie
Et, du ciel dégringole le Soleil refroidi Qui semble jeter par terre ses rayons, En céleste Phœnix, terrassé et raidi
Dès lors, en bord de sente nous voyons Un grand chêne abattu, que la sève a quitté :