Luisante beauté que celle de l’être aimé Angoissante éternité que l’attente est Grandissante nervosité qui est causée De l’amour plus jamais ne ressentir l’effet
Envahi de grands doutes, cruel dilemme Anobli maintenant de laisser réflexion Démoli d’hier n’avoir su guider ton choix De l’amour oui, le tien j’ose encore espérer
Faut-il aimer pour ne jamais pouvoir souffrir Subtile rémanence d’un bonheur partagé Gentille fierté de bien vouloir tous les tors De l’amour parfait, s’offrir le bonheur pour deux