Sais-tu ce que je fais de mes jours maintenant Hélas ces modestes fleures de bel ornement Cadencés aux marches des souvenirs d'antan En pleines figures mes durs gifles leurs sont
Seulement en supportant cet obscur éloignement Je me juge à quel point fortin dois-je être endurant Et en écrasant larme félonne journellement Je me force un diaphane sourire a l'instant
Sait tu que mes vers portent le même vêtement Consternés affligés et soumises a un ton Le cœur tyrannise à l'esclavage d'autre temps Le clavier à ne m'être jamais obligeant
Sais tu ce que t'as fait de moi maintenant Un désillusionné peut être un revenant Nécessitant ton existence tout simplement