Edgar Allan Poe Baudelaire Et l’ombre d’une mélancolie bizarre Ici Sous le soc de la dite : « charrue D’une vie contemporaine » 2005 : Carthage : Pendant qu’une feuille d’un eucalyptus Tomba sur mon portefeuille Un âpre goût de mélancolie Dans mon café M’obligea now à maudire l’outsider De l’infernale vie contemporaine Et hop… La vie à cheval : A bas la mélancolie ! Je refais le jour à ma guise : Gommer tout Et obliger le rossignol à chanter autrement Chez moi Et dans ce que j’aime fonder maintenant : L’empire d’une petite vie Qui ne dure qu’une petite seconde.. Et hop… La vie et le tournesol L’enfant, le puzzle, la rêverie Et le tournevis.. L’hors-jeu, le jeu, le bâton de billard.. L’orphelin de la carte joue.. Pendant que tout : L’empire d’une petite vie Et la vie / énigme De quatre milliards d’ans, De l’enfant : L’empereur de la rêverie.. Se muent en éclair / feu d’artifice.