Il me faut tout ce chemin. Pour me repentir de ma faute : De te river à ma vie d’ordure ou d’or De te guider vers mon éclair de samouraî De te laisser, sous mon ellipse et mon fardeau, à penser De me laisser faire / enjamber ta vallée De te pousser à me charmer De te laisser seule," with me", au palais des mots de nos De te gâcher le régal d’être poète à ta guise De te peiner chaque jour, chaque moment par ma bêtise De te laisser seule, attendre le fin mot de la tortue De te tutoyer Alors qu’entre regards distants, Le courant et le courant d’air se vouvoient De me livrer à la merci D’être enfin Simple sujet cadavérique à disséquer … Et c’est tout.