Un labyrinthe s’étend à l’infini Eclairé par des bougies Un drakkar voyage dans la nuit Il se déplace tel un corbeau S’abreuvant de l’élixir noirâtre De ses victimes sans drapeaux Eparpillées dans une marre sombre Elles tournent le dos au soleil Le port d’Elseneur allume les candélabres Le drakkar accoste dans l’ombre Incursion dans le dédale intérieur Des idiomes iconoclastes, âmes Des marasmes de messages bucoliques Se propageant dans le caveau Des enchevêtrements tels des cerceaux Enchaînent nos cerveaux Aux souvenirs macabres, Des nuitées bleues fantomatiques Des sourires aux charmes idylliques Invitant aux songes Des rêveries aux bords du lac.