Unir nos deux destins je ne veux y songer Car sous la voûte clémente L'automne séjourne Amour Et céder tendrement au chant des troubadours Je suis la fille d'Eole... adieu mon bel été
Mes doigts de fées agiles tricotent la toile céleste Je t'inspire des mots doux aussi tes calembours Je suis l'Art du Paraître indicible comme la peste
Galopant dans la lande, tourmentée, audacieuse Je me voyais déjà éternellement heureuse Sur le dos d'un cheval se prénommant Oreste