Dans un grand champ de fleurs, s’étendre pour oublier Les secondes insipides car l’été va mourir… Au cœur d’une verte vallée, s’asseoir pour respirer La clepsydre d’autrefois, le cœur et ses soupirs…
Dans un beau cimetière, les Vivants et les Morts Les heures vibrantes… dansantes… décomptent le Temps qui fil Se sentir esseulée en plein milieu de l’or Les aiguilles, des quadrilles qui sursautent d’elles en ils…
Je pressens la présence d’un cœur qui bat tambour Venue iconoclaste, cantique du grand Amour Et l’onde murmure en moi « continue d’espérer »
Je songe souvent tout bas à ce regard troublant A la toute première fois ! A ce premier baiser ! Je me souviens alors de mon doux prétendant