Entends-tu cette siréne A la chevelure d'or ? ô marin, toi qui l'aime As-tu perdu le Nord ? Vois comme elle est belle Et du Diable alors Elle posséde le fiel Et la rage et l'or ! Elle frétille, sensuelle ! O marin tu succombes A ses promesses mortelles Et à ses parcelles d'ombre ! Alors elle chavire : O marin quitte le port Abondonne le navire C'est chez moi que tu dors" Un matin au réveil On découvre un corps Qui repose sur la grève Un marin qui est mort