Volcan dont la lave s'écoule brulante Nous louons ta beauté au charme déroutant Une voie ombragée se dégage, dansante Et tu ris, tu jaillis, tu foudroies tes enfants
La sueur et le sang aux larmes se mêlent Les bois, les fôrets, les étangs se déchainent Ta robe rouge et or flamboie, tu es si belle Même si tu n'apportes que chagrin ou bien haine
Les oiseaux autrefois se posaient en ces lieux Où tout semblait calme pour les hommes et les Dieux La poussiére argent recouvre les chemins A présent le Silence habite nos demains
Je garde souvenance de cet endroit magique Où seules errent les âmes ainsi que nos esprits Car tout est revenu à nouveau à la Vie Donnant à ce pays un beau côté rustique