Le silence se meurt Songe un instant à tes attraits Oserais-tu nier ton incroyable beauté Toi que je vénère plus que moi-même ! Les ténèbres zinzelines te confinent Un redoutable pouvoir !
Depuis l’enfance je navigue Entre le ciel et l’éther Le ciel m’attire Les nuages sont mes frères ! Me poser me semble mi-raisin mi-figue Que je renoncerai volontiers à la Terre !