Qu’il est bon de s’asseoir sous un arbre protecteur Sentir le vent léger qui s’amuse tendrement Le laisser cajoler mes cheveux doucement Votre diastole lui revit car Octobre est charmeur
Il m’arrive de songer à vos baisers ardents Puis au creux de vos mains ce rivage enchanteur Je me prends à rêver à votre visage... avant
Qu’un nuage audacieux ravive les ires anciennes Jamais vous pardonner vos brûlures diluviennes Vous resterez gravé en mon corps scintillant.