Car s’encrer en ses mots pour se mettre au supplice Cet illusoire fardeau d’offrandes et de plaisirs Déposer bout d’espoir dans boîte à souvenirs Puis devoir vous quitter au jardin des délices
Les prunelles de Chimène, une ardente Babylone Hédoniste jusqu’au ongles, la peau de tous les vices Arabesques émouvantes puis une voix qui entonne
Air suave délivrant sonorité joyeuse ! Un ballet odorant transcendant ses danseuses Les tulles vous sont précieuses car le jupon moutonne !