Avant que l'aube ne naisse, s'étalant à mes pieds Je tais que... j'avoue que L'Espoir demeure louable Alors que le jour point, revêtu d'un bustier Je sens mon âme, je sais mon coeur impénétrable L'aurore peut s'enterrer, sanctuaire inviolé Le carcan se resserre...je deviens immuable Avant que l'aube ne naisse, s'étalant à mes pieds Je tais que... j'avoue que L'Espoir demeure louable Le crépuscule s'éveille... je me sais apaisée Ta présence immobile, diastole indéfectable Un cri déchire le voile opaque et velouté Je pense à... je tressaille...monacale ou affable Avant que l'aube ne naisse, s'étalant à mes pieds Je tais que... j'avoue que L'Espoir demeure louable