Un vent de liberté apposé sur vos lèvres Comment ne point rêver au vaporeux transport Un visage se déguise, capeline drapée d’or Dans un champ, en guenille, pouvoir aimer sans trêve
Amertume délicate lovée dans tour d’ivoire L’innocente Héloïse attendait Abélard Et ses amours tragiques se pourfendent d’un regard Pourtant la route est longue, son sens ? Echappatoire...
En comprendre la substance pour devenir Socrate ? Subtilité tu sais que tu nous empoisonnes Dialecte savoureux, ses mots nous emprisonnent Certitudes ou dead-ends, connaissance qui épate !
A quoi bon le savoir sans jamais partager ? Ecrire pour le vider ? Le coeur souvent engrange Des cromalins usés par la clarté des anges Et au milieu d’une foule se sentir isolé