L’écume revêt sa dentelle La beauté de la mer n’a nulle pareille La brume voile les châteaux gothiques Les souvenirs et les rêves se mêlent D’un seul écho s’élance la voix de l’air Sa mélodie berce le jour qui se meurt Au fil du temps passent les heures La pluie donne au paysage Une lumière bien trop sage Des forêts se dégage l’odeur du pin Qui saoule l’esprit comme le vin