Mélopées entêtantes enveloppant mon sein Oraisons célestes qui habitent les jardins Refuge du corps et chambre funéraire en bois Toujours croire en l'amour même s'il est aux abois Etincelle de bonheur, bougie de cire, ma foi ! Nul besoin d'un fanal me menant au sauna Je te reconnaîtrai que cela plaise ou pas J'exulterai de joie ô transport de l'amour ! Mélopées entêtantes Mes chemins sinueux trouveront donc leur voie Orages peu tempérés, courroux grondant en moi ! Retourner vers l'ailleurs, cette patrie enchanteresse Tout me semblait meilleur, le vent était caresse ! Erreurs que j'ai commises ; Me marquant au fer blanc... Mélopées entêtantes...