Vous savez à seize ans, vous rêvez tellement Les échecs, les amis, les chagrins nous animent Les pensées crépuscules déambulent lourdement Souffle au coeur, souffre douleur. Les soucis nous minent.
J'abhorrais ce bel âge ! Préférant l'avenir ! Toujours tourner les pages se remettre en question Évacuer l'adage, le courroux toutes ses ires Apaisés aujourd'hui ? Admirer ses passions
Pour taquiner la plume, les elfes qui inspirent En gravir les étages se mordant au passage Le palpitant s'épuise, la caisse à souvenirs
Des ailes recouvertes d'or, car la brume se dissipe Des mutismes sonores, les rails, et les rires ripent Attention solitude tu nuis au paysage !