En plongeant mes deux yeux dans un rai de lumière Tes ailes comme des cheveux étendus sur le sol Cette étreinte sensuelle, était-elle une chimère ? Où un rêve ? où un songe ? Dans mon dernier envol ?
Et je sens près de moi, ton odeur si sucrée Et tu enserres tes bras, je me sais si fébrile Je ne peux plus te fuir, je ne veux plus errer Et mon corps de métal, ce carcan si fragile...
Car je ne saurais vivre dans l'édredon des cieux Sans ta main dans la mienne car je suis amoureux Tu es mon ange amie, ma divine protection
Mes ailes de fer sont closes, je refuse de voler Et si tu le demandes, je les sacriefirais Pour bénir dans le Gange, l'amour à la passion !