Ma muse est fatiguée, ma muse est essoufflée Capricieuse, libertine, elle butine la coquine ! Dessine d’un trait léger subtiles pensées mutines Et les fleurs de papiers d’un sourire étouffé
Vous délivrent des mots mous, des messages de dentelles Esquisse sur un bureau des colliers de fumée Vous agace, vous irrite, mutilant l’essentiel !
Auprès de vous l’ami, je prends un vrai bol d’air Car toujours s’envoler, si haut, dans vos éthers Vous noyez vos idées, oubliant mes prunelles !