Serais-tu la marquise des anges au pôle magnétique Tu vibres électriques sur l’émail des pots catalyse Quelques cris déraillent en voie ferrée, hémolyse Part de sang froid, les sens se mêlent en colique
J’aime respirer avec toi les vapeurs de taille majeures Sentir l’art mature, dessins silex parfumés rocailleurs Les lents soupirs liquoreux dissous, tifs batailleurs Frissons d’azur, la mer rit, côcher des limes ailleurs
De la plage alvéole, j’ai dénoué les atolls froissés Ton empreinte s’étiole au creux des tôles ondulées Corps nus, le cristal vibre sensitif, hautbois bandé Quand d’heures en heures amarrée haute, inopinée
Tu gémis sans porter l’écrin, écrit à tes lèvres gospels Résonnes alors, l’appel orfèvres des airs mirabelle A nos ébats, layette passage télécabine des balancelles Mes mains sacrent le bouton tournedos, volubile dentelle
Caresses ondines, les passions ressacs, couples virtuoses. Libertines, l’écho pulpeux résonne en cordeau symbiose