Fruits des fendus, dérobés par l’essence Les mots tifs bouclent ta peau corossol Gorges ingénues, adoubées, renaissance Les sous tifs à fleurs, imposant cœur au sol
Carreaux, dessins, émaux lisses amadou Le cou roux sérum, enrobés d’innocence S’entête à genoux, suave mélisse aigre-doux L’écho rhum évaporé, s’écoule en bas, lance
Le corps sait, des plaisirs que la fusion enlace Dentelles de Palais, lingeries des héroïnes Eperon, bouton des toiles, facéties égoïnes L’écorce sert le bois banderille en pics fugaces
Sur des lits carats, délicatement je t’aimerais Retable dérégulé des pauses cédées, au temps Sur des lits cieux des reins, délicieusement vrai Ivraie grainée d’épices surs, je priserais le vent.
