Vos
poèmes

Les doux grillons m’égrillonnent
Le chaud soleil me caresse le col
Le hamac me berce sur le tarmac
Vacances, je décolle.

Les chauds rayons d’ambre m’ambrent
Le corps qui se désaccorde
Aux longs sanglots des molles langueurs
Vacances monotones.

Je caresse le papier pas payé
Uni rayé lisse et blanc
Réminiscence du passé
Vacances interdites.

Un grand rire me prend soudain
Tout n’est que vanité en ce bas monde
Mais reste entier l’étrier
Son coup et ses vacances.