Mars revient encore en giboulées éparses, En vents tièdes courrant le long des rues, En pluies fines et froides, comme hésitant toujours Entre l’hiver et l’été. Mars revient encore, sempiternelle ronde. Mars revient toujours et me trouve toujours seul. Mars revient Et j’ai faim d’un amour quelque part.