Lorsque s'en va la vie De celui qu'on chéri, Tout se brise soudain. On refuse le destin. Je me prends à rêver D'une vie prolongée, Au-delà de la terre, Dans un autre univers.
Ce serait si bien si On pouvait retrouver Chacun des êtres aimés Parmi les galaxies; Et vivre désormais Libres dans un esprit, Où tout serait parfait, Sans cops, sans parti-pris.
Nous serions la pensée Toute idéalisée. Nous serions le vent. Nous serions apaisants, Vigilants, protecteurs Et faiseur de bonheur Envers ces êtres aimés, Que nous aurions quittés.
Ce serai si bien si, Nous retrouvant ainsi, à nouveau réunis, Heureux dans l'infini, Où tout serait bonté, Joie et félicité. De vrai : le paradis ! J'entends sa mélodie !