La nuit encore obscurcit ton visage, Tu es le naufragé, le beau voyage ! Là, étendu, prisonnier de mes yeux Tu flottes entre deux rêves, marin radieux !
Plaisirs noctambules, caresses surannées, Soupirs doux, larmes tendrement échappées, Tu les retrouve au creux de ton sommeil : Homme, viens ! Allons réveiller le soleil !