Quand nos regards se croisent, le monde s’inonde de poésie a Ne sais-tu pas que le monde est une femme qui ne se laisse Je dispose de la liste longue qui comprend les amours perdus Enfoirée de nostalgie qui nous fait couler du sang des yeux Mon histoire regorge l’oubli de mes aïeuls, rattachée à la Mon unique souvenir demeure l’oubli au fond de mon être enfo Que savez-vous apprécier à part des plats d’âmes innocentes Avale le sang doux des enfants rêveurs assassinés à la lumiè J’enterre ma foie nourrie de la chair juvénile, bercée dans L’analyse de l’infini, la roche solaire s’affaiblit,la lumi J’envie la mort qui dérobe les âmes au sommeil pour en faire Je perds le rythme d’une vie aléatoire dans une mélodie inte Apprends à cueillir des cerises dans le jardin des autres, c Je ne vole plus depuis que mes ailes volent au dessus des co Tu remets en cause la frénésie des grands hommes qui vivent Trinquant à l’immortalité et le pouvoir sans apercevoir la s Je t’ai vêtu d’un texte romanesque râpé, comportant les trac Telle une absurdité, nos vies de dissipent dans une eau écar Au secours, au secours nous sommes prisonniers de nos tares, Elle te demande de prendre le chemin de la naissance vers l’ Quelle peine de ne connaître qu’une facette de soi , de subi