Quand on arrêtera la course coutumière Du grand courrier des cieux qui porte la lumière, Quand on arrêtera l'an qui roule toujours Sur un char attelé de mois, d'heures, de jours, Quand on arrêtera l'armée vagabonde Qui va courant la nuit par le vide des cieux, Décochant contre nous les longs traits de ses yeux, Lors on arrêtera l'inconstance du Monde.