Jouissance vous donnerai, Mon Ami, et si mènerai A bonne fin votre espérance. Vivante ne vous laisserai ; Encore, quand morte serai, L'esprit en aura souvenance.
Si pour moi avez du souci, Pour vous n'en ai pas moins aussi, Amour le vous doit faire entendre. Mais s'il vous grève d'être ainsi, Apaisez votre coeur transi : Tout vient à point, qui peut attendre.