Ô poison pire que mortel, Me ferez-vous crever le coeur ?
Ô poison pire que mortel, Qui me tient en telle tutelle Que n'ai ni force ni vigueur ; Envieuse et fausse querelle, Plus pute que n'est maquerelle, Trop me plains de votre rigueur. Où est Satan, mon gouverneur, Qui ne vient pas quand je l'appelle ? O folle, infernale fureur ; Diables pleins de toute cautelle, Me ferez-vous crever le coeur ?