Le bleu turquoise de la baie le vert pâle du feuillage de la forêt et la plage couverte de galets oasis perdue quelque part en Presqu’Amérique-du-Nord
Y a-t-il un Paradis sur terre se demande le Poète ? Puis mes yeux se posent sur ce décor enchanteur mes mains sur ton corps sculptural tandis qu’au loin une aigrette fend l’air et qu’un héron se pose sur le rocher près du rivage Tout est silence et beauté
La brise me souffle à l’oreille : « Oui Monsieur le Poète, le Paradis existe bel et bien ici-bas Ouvre grand les yeux et tu verras qu’il est au Bic juste à tes côtés la tête appuyée sur le coeur de ta Belle Lubellelune ! »