Chênes mystérieux, forêt de la Grésigne, Qui remplissez le gouffre et la crête des monts, J'ai vu vos clairs rameaux sous la brise bénigne Balancer doucement le ciel et ses rayons.
Ah ! Dans le sombre hiver, pendant les nuits d'orage, Lorsqu'à votre unisson lamentent les corbeaux, Lorsque passe l'éclair sur votre fier visage, Chênes que vous devez être encore plus beaux !