Pourquoi cette rage, Ô ma chair, tu ne rêves Que de carnage, De baisers ! Mon âme te regarde, En tes joutes, hagarde : Mon âme ne veut pas De ces folâtres pas. Aussi, parmi cette flamme, Que venez-vous faire, Ô mon âme ! Ah, laissez Vos bouquets d'ancolie, Et faites de façon Que l'on vous oublie.