Quand je viendrai m'asseoir dans le vent, dans la nuit, Au bout du rocher solitaire, Que je n'entendrai plus, en t'écoutant, le bruit Que fait mon coeur sur cette terre,
Ne te contente pas, Océan, de jeter Sur mon visage un peu d'écume : D'un coup de lame alors il te faut m'emporter Pour dormir dans ton amertume.