Doux ruisseaux coulez sans violence, Rossignols modérez votre voix ; Taisez-vous, Zéphyrs, faites silence, C'est Iris qui chante dans ces bois.
Je l'entends et mon coeur qu'elle attire La connaît à ses divins accents, Aux transports que sa douceur m'inspire, Mais bien mieux aux peines que je sens.
Que ses yeux ont d'attraits et de charmes ! Que mon coeur a pour eux de tourment ! J'ai payé mille fois de mes larmes Le plaisir de les voir un moment.