Je ne veux point le clair char estoillé De ta beauté, en grace estincellante, Par ton front, Ciel de lumiere excellante Guider ainsi, que Phaëton voilé
De vain orgueil, duquel tout affollé Voullut donter la bride rougissante Des fiers chevaux. Mais sa main languissante Bruloit les cieux, qui l'ont en feu roullé.
Je suis celuy, qui de tes yeux pren vie Asservissant à ton ombre l'anvie De mon espoir qui t'admire douteux,
Non de vertu qui reluit bienheureuse Sur la clairté de plaisance amoureuse, Mais de l'ardeur de ton oeil impiteux.