Quand viendra l'heureux temps que je sacrifiré Mon corps sur votre autel que saint Désir dédie, Que j'épandrai mon sang en mémoire infinie D'avoir par une erreur si longtemps soupiré ?
Quand viendra l'heureux jour que je vous offriré Un bénit cierge ardent avec cérémonie, Étant à deux genoux près de vous accomplie, Afin d'avoir pitié de mon coeur martyré ?
Hé ! quand serai-je orné dans votre sacré temple, Servant vos déités que dévot je contemple ? Quand accepterez-vous ma chère oblation,
Pour fidèle témoin de mes peines souffertes ? Mais quand en recevant mes divines offertes Aurai-je de vos mains la bénédiction ?