Jusques aux pervers nonchaloirs De ces yeux noirs, Jusque, depuis ces flemmes blanches De larges hanches Et d'un ventre et de deux beaux seins Aux fiers dessins,
Tout pervertit, tout convertit tous mes desseins,
Jusques à votre menterie, Bouche fleurie, Jusques aux pièges mal tendus Tant attendus, De tant d'appas, de tant de charmes, De tant d'alarmes,
Tout pervertit, tout avertit mes tristes larmes,
Et, Chère, ah ! dis : Flûtes et zons À mes chansons Qui vont bramant, tels des cerfs prestes Aux gestes lestes, Ah ! dis donc, Chère : Flûte et zon ! À ma chanson,