Qu'il est doux parfois d'être de ton avis, frère aîné, ô mon corps, qu'il est doux d'être fort de ta force, de te sentir feuille, tige, écorce et tout ce que tu peux devenir encor, toi, si près de l'esprit.
Toi, si franc, si uni dans ta joie manifeste d'être cet arbre de gestes qui, un instant, ralentit les allures célestes pour y placer sa vie.