Emprunte aux oiseaux leur auberge Au feuillage d'ardoise tendre ! Loin des fatigues, ma cycliste, Qui t'épanouis sur nos berges, Future fleur comme Narcisse,
Tu sembles toi-même t'attendre ! Mais pour que nul gêneur ne vienne Je nomme la Marne gardienne, Ô peu chaste, de tes appâts. La Marne fera les cent pas.
Si son eau douce va semblant Plus douce et plus chaste que d'autres, Ses désirs pourtant sont les nôtres : Voir bouillir à l'heure du thé Que l'on prend en pantalon blanc,