Ah ! sur les terrasses en prenant nos épaules longtemps, parmi la nuit d'étoiles à meurtrir notre gloire, passons ! Mes Yeux pleurent les mondes qu'ils n'ont point vus, et qu'ils ne verront pas : les ondes de leur lumière où mon être mortel ne doit s'épanouir, ouvert en la limite seule de son expansion ! ouvert, pour qu'en émoi le traverse le plus de la Matière-aïeule...
Ah ! sur les terrasses en prenant nos épaules longtemps, parmi la nuit d'étoiles à meurtrir notre gloire, passons ! Mes Yeux pleurent les Femmes qu'ils n'ont point vues, et qu'ils ne verront pas. L'air est algide, qui m'environne du désert de leurs manquantes présences, - leurs doigts de vie que mon amour voulut de toute pierrerie multi-ardente aux soleils ivres, alentir !