Au seul souci de voyager Outre une Inde splendide et trouble - Ce salut soit le messager Du temps, cap que ta poupe double
Comme sur quelque vergue bas Plongeante avec la caravelle Ecumait toujours en ébats Un oiseau d'annonce nouvelle Qui criait monotonement Sans que la barre ne varie Un inutile gisement Nuit, désespoir et pierrerie
Par son chant reflété jusqu'au Sourire du pâle Vasco.