Si beau, si parfait à l'opposé de l'humain Que je suis encor, - que nulle de mes paroles N'atteindra jamais la neuvième des Coupoles Ni l'espace bas où les lourds génies s'envolent.
Plus haut. Piétinons l'esplanade ordonnancée ! Portons haut le Nombre et les justes tourbillons. Étreignons le cercle : happons l'azur : assaillons Plus haut ? sans espoir : il n'y a pas de rayons !
Pour aide voici : les neufs brasiers nous affleurent : Voici les trois monts et le renouveau des heures : Recommencement : forte vie intérieure... Comme eux flamboyons ! dévorons les chairs et sangs !
Il faut s'attiser ; grésiller ; brûler au rouge ; Pénétrer son coeur du pic de profondes gouges : Les feux verticaux à travers quoi le Ciel bouge Portent au niveau de l'horizon plein des vents.